L’imprimerie et la sérigraphie génèrent en moyenne de 30 à 38 % de déchets dits « d’activité ». Un chiffre qui peut sembler important, qui s’explique par les contraintes techniques, par la production proprement dite (petite série, sur-mesure, découpes), mais également par le réglage des machines, le vieillissement possible et la fragilité de certaines matières support.
Chez Publigraphic, nous rechignons à voir disparaître les belles matières que nous travaillons dans les différentes bennes de recyclage industriel. C’est pourquoi les déchets de production (chutes de papiers, bobines cartons, auto-collants, magnétiques, découpes PVC) sont régulièrement proposés à des écoles, des centres de loisirs, des associations, des artistes qui travaillent les matières recyclées.
Les salariés réemploient bien sûr tout à fait naturellement au quotidien certaines matières : papiers brouillon, calages des diverses machines, classement, manutention, expédition… Les personnes les plus créatives imaginent spontanément des accessoires de bureau ou des réutilisations plus personnelles (meubles, petits objets décoratifs).